
Déambulez dans la zone boisée
Currie en lumière est une série d’installations artistiques lumineuses inédites qui illuminera les soirées d’hiver à Calgary. Currie en lumière, qui se déroulera du vendredi 13 janvier au samedi 18 mars, 2023 aura lieu en plein cœur de Currie : le Currie Woodland, un espace naturalisé nouvellement ouvert dans le parc Alexandria.
Cette riche expérience de narration célèbre la magie de l’hiver, les racines militaires de Currie et son lien avec les peuples autochtones.


Apprenez-en plus
Currie en lumière comprend sept installations distinctes qui illuminent des sentiers sinueux avec plus de 30 œuvres lumineuses individuelles qui comprennent des lanternes, des projections et des œuvres d’art suspendues. Apprenez-en plus au sujet de chaque installation ci-dessous.
Une goutte d’eau de la Lune, un profil en croissant, une main en forme de coupe dans l’air qui attrape une grande lumière et qui la disperse aux alentours. MoondropsXO vous invite à envisager que le sentiment peut être la signification.
Une série de courts poteaux avec des lanternes de style bollard, la structure et la lueur de Propellard évoquent le mouvement de turbines, d’éoliennes et d’hélices, ainsi que l’effet invisible de lames en rotation sur l’air et sur l’eau.
How the Thunder Pipe came to the Blackfoot People – Changing Seasons
Il s’agit d’une installation séquentielle qui utilise des pictogrammes de Pieds-Noirs pour raconter l’histoire de Tonnerre. Par l’intermédiaire d’une série de 32 panneaux fixés sur de petites lanternes, les visiteurs apprendront l’histoire des Pieds-Noirs et de leur premier calumet cérémoniel. Les histoires des Pieds-Noirs sont transmises oralement d’une génération à l’autre et elles dépendent de la mémoire pour les raconter, avec des détails qui changent parfois selon la personne qui raconte l’histoire, mais la signification ou la morale de celle-ci demeure la même.
Ces histoires traitent de la relation des Pieds-Noirs avec l’environnement, les entités spirituelles, les animaux et entre eux. Elles forment et animent le fondement de notre patrimoine culturel.
Cette histoire souligne l’importance de Tonnerre, comment il nous rappelle la puissance du monde naturel et comment il est puissant et respecté. Elle raconte également comment le peuple Pieds-Noirs a acquis le calumet de Tonnerre, son premier calumet sacré, qui sert à célébrer l’arrivée du printemps.
À notre époque, nous tenons le tonnerre pour acquis, il se produit souvent au printemps et il reste avec nous jusqu’à l’automne, et occasionnellement en hiver. Le tonnerre est une formidable force qui nous rappelle la puissance du monde naturel. Il sert de signal pour l’éclair, qui peut nous blesser ou nous tuer. En tant que tel, Tonnerre est une puissante entité qui doit être crainte et respectée.
L’histoire
Parfois, Tonnerre peut aussi être malicieux, ses yeux envoyant des éclairs et volant des femmes de la tribu.
C’est ce qui est arrivé à une famille composée d’un père, d’une mère et d’un enfant. Ils étaient assis dans leur hutte lorsque, soudainement, Tonnerre les a frappés. Le père et l’enfant ont été secoués et effrayés, avant de s’apercevoir que la mère n’était plus là, inconscients que Tonnerre l’avait volée.
Au début, le père croyait qu’elle était sortie pour aller cueillir des provisions. Il a demandé à des membres de son campement s’ils l’avaient vue, mais personne ne l’avait aperçue. Ils ont également entendu Tonnerre gronder et ils craignaient qu’il ait quelque chose à voir avec cette disparition.
C’est alors que le père a compris que Tonnerre lui avait volé sa femme. C’était une pensée terrible puisque le couple devait prendre soin d’un enfant, ce qui attristait le père. Il a parcouru la forêt et les collines pour pleurer sa perte, se demandant quoi faire.
Il a commencé à parler aux animaux. Lorsqu’il s’est adressé au Loup, celui-ci lui a expliqué que tous les animaux craignaient Tonnerre parce qu’il pouvait les frapper à tout moment. Ils ne souhaitaient donc pas rencontrer Tonnerre. Ils désiraient plutôt s’enfuir et se cacher lorsqu’ils entendaient Tonnerre.
Refusant de se laisser abattre, le père a continué de chercher Tonnerre. Un jour, il est tombé sur la hutte de Corbeau, qui était faite de pierre. Corbeau était amical et l’a invité dans sa hutte où il l’a nourri.
Il a demandé au père pourquoi il était là, l’homme lui a expliqué que Tonnerre lui avait volé sa femme et qu’il souhaitait la retrouver afin qu’ils puissent prendre soin de leur enfant, qui s’ennuyait aussi d’elle.
Corbeau savait que Tonnerre habitait non loin. Il a dit au père que Tonnerre était terrible, que sa hutte était également faite de pierre et qu’elle contenait les yeux de toutes les personnes que Tonnerre avait volées, suspendues aux parois en compagnie de tambours.
Il a alors demandé au père s’il était assez brave pour s’aventurer dans la hutte de Tonnerre, il lui a répondu qu’il était effrayé et qu’il ne voulait pas voir des choses aussi terribles.
C’est alors que Corbeau lui a déclaré qu’il n’y a qu’une entité crainte par Tonnerre, la seule qu’il ne puisse pas tuer. Il s’agit de Corbeau.
Corbeau a dit au père qu’il pouvait lui donner sa médecine afin que Tonnerre ne lui fasse pas de mal. Il a alors remis au père une aile de corbeau en lui disant de l’agiter devant Tonnerre en le sommant de lui redonner sa femme. L’aile de corbeau devrait lui donner froid et l’effrayer, l’incitant à retraiter.
Il a aussi donné au père une flèche faite de bois d’orignal en lui disant que si l’aile de corbeau ne suffisait pas, il n’aurait qu’à tirer la flèche à travers la hutte.
L’homme restait néanmoins effrayé, demandant à Corbeau comment il pouvait être sûr que cela fonctionnerait. Corbeau lui a répondu de lui faire confiance et il l’a entraîné à l’extérieur où il a frotté ses yeux avec un peu de sa médecine.
Corbeau lui a dit qu’il avait parcouru beaucoup de chemin et qu’il ne pouvait plus voir son campement ni son peuple, mais qu’avec la médecine il le pourrait. En ouvrant les yeux, le père a vu son campement, les huttes colorées et son peuple. C’est alors qu’il a cru à la puissance de Corbeau.
Le père s’est ensuite rendu à la hutte de Tonnerre, y entrant et s’assoyant près de la porte. Tonnerre, furieux que cet homme ait osé pénétrer dans sa hutte, l’a foudroyé de ses yeux flamboyants et lui a demandé ce qu’il faisait là.
L’homme a regardé autour de lui les nombreux yeux dans la hutte de Tonnerre, apercevant ceux de sa femme. Il a dit à Tonnerre qu’il voulait ravoir sa femme que Tonnerre lui avait volée, qu’il l’aimait et que lui et son enfant avaient besoin d’elle. Tonnerre s’est levé et lui a dit que personne ne pouvait venir dans sa hutte pour reprendre ce qu’il avait volé et il s’apprêtait à frapper le père de ses yeux de foudre. Mais le père a sorti l’aile de corbeau et l’a agitée devant Tonnerre.
Tonnerre est retombé sur ses talons et il a commencé à grelotter et à geler avant de se relever de nouveau. Le père a sorti la flèche de bois d’orignal et il l’a tirée à travers la hutte, perçant la pierre et laissant la lumière du soleil pénétrer la noirceur.
Cela a stoppé net Tonnerre, qui a demandé au père de cesser. Il lui a dit qu’il avait une médecine puissante et qu’il pouvait ravoir sa femme. Le père a coupé la ficelle qui entourait les yeux de sa femme et celle-ci est apparue devant lui.
Tonnerre a alors déclaré que le père connaissait dorénavant ses faiblesses et que la médecine de Corbeau était plus puissante que la sienne. Reconnaissant cet état de fait, Tonnerre a décidé qu’il vivrait ici pendant l’été et qu’avec l’arrivée de l’hiver, il partirait dans le Sud avec les oiseaux.
Tonnerre a ensuite saisi son calumet et il l’a donné au père, en lui disant que sa grande puissance résidait dans celui-ci. Il a dit au père de prendre le calumet, de le garder et, au retour de Tonnerre au printemps, de l’allumer, de fumer avec celui-ci et de prier à Tonnerre, à lui-même et à son peuple. Il a dit au père qu’il amènerait la pluie qui fera pousser les baies.
Le père et sa femme sont ainsi revenus au campement où ils ont été réunis avec leur enfant. Le père a raconté leur histoire et son peuple avait dorénavant son premier calumet médicinal.
C’est ainsi que les Pieds-Noirs ont obtenu le calumet de Tonnerre. Chaque année, lorsque Tonnerre revient gronder, nous allumons le calumet et nous lui dédions une prière, ainsi qu’à nous-mêmes et à notre peuple, un renouveau annuel qui garantit et célèbre l’arrivée du printemps et la croissance des aliments.
Sentier illuminé par les lanternes polychromatiques emblématiques de Dylan. Se balançant gentiment dans la brise ou dansant dans la tempête, les symétries chaotiques entrecoupées des Topaz Lanterns transforment votre promenade nocturne.
Une approche non conçue par des ingénieurs en hommage au corps de génie qui fait partie de l’histoire de Currie. Bridge Layers est une portée étagée temporaire entre deux solitudes. En suivant le sentier sous le pont, on arrive à Currie en lumière.
Ces lanternes honorent l’histoire et la bravoure de quatre soldats autochtones de l’Alberta. Elles rappellent l’histoire de la caserne Currie et des engagements militaires canadiens. Elles nous rappellent aussi que les soldats autochtones ont joué un grand rôle dans l’histoire militaire du Canada. Chaque lanterne soulignera l’identité, l’histoire et la vie de ces soldats au moyen de représentations pictographiques. La caserne Currie se trouve sur le territoire des Pieds-Noirs et trois des soldats ainsi honorés proviennent de ce même territoire.
Michael Mountain Horse (Première Guerre mondiale)
« Miistatisomitai » est né en 1888. À l’époque, les Kainai (tribu Blood) s’adaptaient à la vie dans une réserve. À l’âge de six ans, Michael a été envoyé dans un pensionnat autochtone de la réserve géré par l’Église anglicane.
Mike et son frère Joe se sont enrôlés dans le Corps expéditionnaire canadien afin de venger leur frère Albert, mort de ses blessures après son rapatriement du champ de bataille. En France, Mike a été blessé par la baïonnette d’un ennemi lors de la bataille de Cambrai et il a été envoyé en convalescence en Angleterre.
Mike est revenu au pays où il est devenu interprète avec la Police à cheval du Nord-Ouest, il a ensuite travaillé comme manœuvre de locomotive pour le Chemin de fer du Canadien Pacifique, puis, dans les années 1920, Mike est devenu journaliste et il a écrit de nombreux articles pour le Lethbridge Herald. Mike était respecté au sein de la nation Kainai et il a été élu au conseil tribal des Blood. Mike Mountain Horse est décédé en 1964.
Albert Mountain Horse (Première Guerre mondiale)
On croit qu’Albert Mountain Horse a été le premier Autochtone de l’Ouest canadien à s’enrôler dans le Corps expéditionnaire canadien lors de la Première Guerre mondiale. Il a été victime de l’attaque au chlore gazeux par les Allemands lors de la deuxième bataille d’Ypres en avril 1915, mais il a survécu aux féroces combats. Albert a été gazé à deux autres reprises en 1915. Il a subi de graves dommages aux poumons en conséquence qui l’ont confiné à l’hôpital. Gravement malade, on lui a diagnostiqué une pneumonie et il a été déclaré inapte au combat. Malheureusement, sa pneumonie s’est transformée en tuberculose et il est mort trois jours après son rapatriement au Canada. Il n’avait que 22 ans.
Albert Mountain Horse a grandi dans la réserve indienne Blood, dans le sud de l’Alberta. Sa mère l’avait nommé Flying Star. Lorsqu’il a atteint l’âge, Albert s’est joint au corps de cadets, puis, plus tard, il a fréquenté une école militaire à Calgary. Les deux frères plus âgés d’Albert, Mike et Joe, se sont enrôlés peu de temps après la mort de leur jeune frère et ils ont servi en France pendant toute la durée de la guerre.
Mike Foxhead (Première Guerre mondiale)
Mike est né le 16 août 1898 dans la réserve de la nation Siksika, en Alberta. Mike Foxhead s’est enrôlé à Calgary en octobre 1916. En dépit des objections des aînés de sa communauté, il a fait part de ses motivations dans une lettre en 1917, écrivant qu’il souhaitait « mettre de l’avant un nom pour la réserve, afin que celle-ci puisse dire qu’elle avait un de ses hommes là-bas. J’aurais pu me retirer lorsque les gars ont été réformés, seulement, je voulais faire ma part comme tous les autres Canadiens. »
Mike Foxhead s’est joint au 191e bataillon et il a pris la mer depuis Halifax au printemps de 1917 à bord du SS Olympic (Olympic était le navire-jumeau du Titanic). À son arrivée en Angleterre, il a été transféré au 21e bataillon de réserve avant d’être affecté au 50e bataillon en France, qui avait besoin de renforts. Peu après son arrivée au front, Mike Foxhead a été tué au combat, le 23 octobre 1917. Son bataillon participait à la bataille de Passchendaele et, le 23 octobre, il a subi un bombardement ennemi considérable dans des conditions boueuses et dans des tranchées gorgées d’eau.
Son nom figure parmi les 55 000 inscrits sur le monument commémoratif de la porte de Menin, qui commémore les soldats morts en essayant de protéger le saillant d’Ypres et dont les corps n’ont jamais été recouvrés.
Henry Norwest (Première Guerre mondiale)
Henry Norwest était un tireur d’élite métis né à Fort Saskatchewan, en Alberta. Au cours de ses près de trois ans de service au sein du 50e bataillon d’infanterie du Canada, le caporal suppléant a atteint le record de tir de 115 coups de feu fatals. Il a également obtenu la médaille militaire avec agrafe, en faisant l’un des quelque 830 membres du Corps expéditionnaire canadien à se voir attribuer ce double honneur.
Le meilleur tireur d’élite du bataillon a mérité cette médaille en 1917 sur un pic de la crête de Vimy. La majeure partie de la crête a été conquise au premier jour, trois jours plus tard, les deux positions ennemies restantes, y compris un bastion allemand connu sous le nom de Bourgeon, ont été conquises.
Selon la citation de sa médaille, Henry Norwest a fait preuve « d’une grande bravoure, de compétence et d’initiative en tirant sur l’ennemi après la capture du Bourgeon. Par cette activité, il a sauvé la vie d’un grand nombre de nos hommes. »
L’année suivante, Henry Norwest s’est vu attribuer une agrafe pour sa médaille militaire. Lors de la bataille d’Amiens, en France, Henry Norwest a détruit plusieurs postes de mitrailleuses ennemis et il a atteint le record de tir le plus élevé du bataillon. Une semaine plus tard, le 18 août, trois mois avant la fin de la guerre, Henry Norwest a été tué par un tireur d’élite.
Il s’agit d’une actualisation emballante d’une lanterne non conventionnelle qui illumine les sentiers lors d’événements depuis plus de 10 ans. Cette version offre des étoiles scintillantes, des cocons rougeoyants et des toiles d’araignée qui vibrent dans le givre.
Installations Currie en lumière

The Military Museum Foundation

La Military Museums Foundation offre les expériences améliorées pour votre promenade Currie en lumière avec des visites guidées personnalisées qui examinent l’histoire derrière certaines des installations lumineuses, ainsi que la zone boisée elle-même.
Ces expériences comprennent également une visite en dehors des heures d’ouverture de Military Museums, ainsi que des rafraîchissements légers.
Il y a un coût supplémentaire pour cette expérience.
Dylan Toymaker & Adrian Stimson
Renseignez-vous sur les histoires des artistes ci-dessous


Dylan Toymaker
Dylan Toymaker est un artiste qui se spécialise dans la conception et l’installation d’éclairage. Il habite actuellement à Edmonton, en Alberta. Il a entrepris sa carrière artistique dans l’artisanat, tout en obtenant, de manière inattendue, un baccalauréat ès arts en anthropologie. Ses premières expériences de travail à l’échelle internationale, dans des productions artisanales dans des endroits comme Toronto, Vancouver, Tucson, La Nouvelle Orléans et New York, l’ont conduit sur un long et sinueux cheminement vers sa véritable passion : la conception d’éclairage.
Il aime consacrer ses journées à créer des installations entièrement immersives avec des œuvres d’art communautaires ou axées sur des événements, en mettant l’accent sur la création d’espaces et sur l’orientation, y compris des structures monumentales et des systèmes de lanternes. Auparavant, il a créé et sélectionné des œuvres d’art pour le festival Flying Canoë Volant, et a conçu et construit des installations de lanternes pour divers festivals albertains, dont le festival de musique folk d’Edmonton et le festival Dark Sky de Jasper.
Des œuvres de Dylan


Adrian Stimson
Adrian Stimson est membre de la nation Siksika (Pieds-Noirs) du sud de l’Alberta, il détient un baccalauréat en beaux-arts avec distinction de l’Alberta College of Art and Design et une maîtrise en beaux-arts de l’Université de la Saskatchewan.
C’est un artiste interdisciplinaire dont les moyens d’expression comprennent la peinture, la performance, la vidéographie et la sculpture. Il a participé au Programme d’arts des Forces canadiennes, qui l’a envoyé en Afghanistan en 2010, et il a reçu le Prix du Gouverneur général en arts visuels et en arts médiatiques en 2018. Les œuvres d’Adrian Stimson ont été exposées à l’échelle nationale et internationale, notamment dans des endroits renommés comme le British Museum et le festival Burning Man.
Des œuvres d’Adrian
Ce que vous devez savoir
Voici quelques réponses à des questions fréquemment posées concernant l’événement Currie en lumière.
Si vous avez d’autres questions au sujet de l’événement, veuillez écrire à l’adresse
Il s’agit d’un événement entièrement gratuit ouvert au public! Cependant, si vous souhaitez rehausser votre soirée, nous offrons des visites guidées de la Military Museums Foundation à un coût supplémentaire.
Currie en lumière est destiné à toute personne qui apprécie la magie de l’hiver ou qui cherche une raison de sortir dehors et de profiter d’une soirée hivernale. L’événement convient aux personnes de tous les âges.
Les chiens sont les bienvenus dans la zone de Currie Woodland, où se situe Currie en lumière, mais nous vous demandons de garder vos compagnons à fourrure en laisse. Si votre chien souhaite dissiper de l’énergie en trop, vous pouvez l’emmener dans le parc canin tout près!
Currie en lumière sera accessible du 13 janvier au 18 mars.
L’installation sera ouverte au public tous les soirs jusqu’au 18 mars. Le meilleur moment pour voir l’installation serait après le coucher du soleil.
La promenade elle-même prend entre 15 et 45 minutes, alors que la visite guidée de la Military Museums Foundation peut prendre jusqu’à deux heures.
Aucune inscription n’est nécessaire pour la promenade. Il faut toutefois s’inscrire pour la visite guidée de la Military Museums Foundation. Nous recommandons d’arriver avec un esprit curieux… et des vêtements chauds!
Du stationnement sur rue gratuit pourrait être accessible. À votre arrivée à Currie, des panneaux vous guideront. Veuillez respecter les panneaux de stationnement ou les restrictions de permis. Au cœur de Currie, le parc Alexandria est aussi accessible à partir des rues suivantes :
- Alexandria Green Sud-Ouest
- Normandy Drive Sud-Ouest
- Bessborough Drive Sud-Ouest
- Calais Drive Sud-Ouest
Oui. Nos partenaires de la Military Museums Foundation offrent des visites guidées, suivies de rafraîchissements et d’autres discussions au musée. Pour en savoir plus ou pour réserver une visite, cliquez ici.
S’il n’y a pas de fournisseurs d’aliments au parc Alexandria comme tel, plusieurs commerces aux alentours offrent des repas chauds, des boissons rafraîchissantes et plus encore. Ils comprennent notamment :
- The Inn on Officers’ Garden
- Wild Rose Brewery
- Burwood Distillery
- Vaycay Brew Co.
Malheureusement, il n’y a pas de toilettes sur place.
À moins de problèmes techniques imprévus pouvant découler du mauvais temps, il n’y a aucun plan d’annuler des visites.
Pour votre sécurité, veuillez rester sur les sentiers marqués et ne touchez pas aux installations lumineuses.
Les installations artistiques ne posent aucun problème de photosensibilité et elles devraient être sécuritaires pour le plaisir de tous.
